Top Exchange permet le trading WIF et PEPE au Canada

En tant qu’analyste chevronné possédant plus de deux décennies d’expérience sur les marchés financiers, je trouve que la récente décision de Kraken d’inscrire PEPE et WIF aux fins de négociation au Canada est une décision stratégique. Après avoir suivi de près la croissance du marché canadien des cryptomonnaies, il est évident que Kraken tire parti de sa forte présence dans la région pour exploiter ce marché en plein essor.

Conformément à l’annonce faite jeudi, il a été rendu possible d’échanger Pepe (PEPE) et dogwifhat (WIF) sur Kraken Pro au Canada.

Kraken a ajouté pour la première fois WIF (une crypto-monnaie) en février. D’autre part, la crypto basée sur les mèmes, PEPE, a rejoint la plateforme en mai.

En août, Kraken a ajouté WIF et PEPE comme nouvelles garanties pour les contrats à terme aux côtés de certains autres produits. 

L’année précédente, je me suis retrouvé dans une position avantageuse lorsque Binance a quitté le marché canadien. En tant que l’un des acteurs les plus anciens du paysage des échanges cryptographiques, j’ai remarqué une augmentation significative des flux de dépôts suite à cet événement.

 

Kraken a commencé ses activités au Canada il y a plus de dix ans. Il propose diverses paires de sports CAD. L’échange compte également des milliers de membres d’équipe basés dans le pays.  

La bourse a déposé un engagement de pré-enregistrement auprès de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario en mars dernier. 

Cela a marqué une étape importante pour l’entreprise alors qu’elle s’efforçait d’obtenir des licences de concessionnaire exclusives dans le pays. Notamment, Coinbase, l’un de ses principaux concurrents, a réussi à atteindre cet objectif en avril.

Selon le récent article de blog de Kraken, le Canada a eu un impact significatif dans le monde des crypto-monnaies. Ils ont souligné une étude indiquant que plus d’un tiers des Canadiens pensent que les monnaies numériques pourraient potentiellement être utilisées pour des transactions financières.

Selon le rapport de U.Today, seulement 20 % environ des propriétaires canadiens de cryptomonnaies l’ont utilisée pour acheter des biens ou des services. D’un autre côté, environ 7 % des Canadiens ont principalement utilisé la cryptographie pour effectuer des paiements, notamment sous forme de rançon.

Actuellement, la plateforme traite de problèmes juridiques aux États-Unis. En novembre dernier, la Securities and Exchange Commission (SEC) a intenté une action en justice contre l’entreprise. Selon U.Today, Kraken a récemment connu une défaite juridique lorsque le tribunal a rejeté sa demande d’abandon du procès.

2024-09-06 00:10