Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d’un cancer du cerveau à l’âge de deux ans.

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Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.

En tant qu’expert du style de vie possédant une vaste expérience dans les récits personnels et la narration émotionnelle, je me trouve profondément ému par le parcours réconfortant et poignant de Rob Delaney. Son amour inébranlable pour son défunt fils Henry, ainsi que sa résilience face à une tragédie indescriptible, sont véritablement inspirants.

Rob Delaney a parlé de son amour pour le NHS, saluant les soins incroyables que son fils Henry a reçus, avant sa mort tragique à cause d’un cancer en 2018.

En tant qu’admirateur inconditionnel, je ne peux m’empêcher de partager mon enthousiasme pour le comique hilarant, aujourd’hui âgé de 47 ans, originaire du Massachusetts mais qui a fait du nord de Londres sa résidence actuelle, aux côtés de sa femme bien-aimée Leah et de leur trio de fils. Cette année, il a fièrement franchi une nouvelle étape dans son parcours international en devenant citoyen britannique.

Rob a avoué qu’il aimait beaucoup vivre à Londres et qu’il n’envisageait pas de retourner à Los Angeles. Il a souligné le coût élevé des soins de santé aux États-Unis et la grande quantité d’armes pour justifier sa décision.

Lors d’une récente conversation sur Table Manners animée par Jessie et Lennie Ware, il a exprimé qu’il n’était pas sûr de ce qui pourrait l’inciter à retourner à Los Angeles. Ses enfants y sont profondément immergés dans leur vie.

Ils ont passé toute leur vie ici, le plus jeune d’entre eux est né ici. Ils semblent y être attachés maintenant, et à mesure qu’ils vieillissent, leurs sentiments et leurs préoccupations comptent de plus en plus. Nous devons en tenir compte lorsque nous prenons des décisions.

Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.

Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.
Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il aimait le plus dans la vie à Londres, il a répondu : « J’aime les gens, je me suis fait de merveilleux amis. 

J’apprécie grandement le National Health Service (NHS), malgré ses problèmes de financement. Il est rassurant de savoir que, si une personne subit un accident comme une jambe cassée, les soins reçus au Royaume-Uni par l’intermédiaire du NHS sont préférables à ceux qui pourraient être dispensés en Amérique. Dans une telle situation, la principale préoccupation serait de s’occuper de la blessure ou de la maladie en question, plutôt que de s’inquiéter du coût du traitement.

Ici, aucune arme n’est présente, ce qui est étonnant compte tenu de la prévalence des armes à feu en Amérique. Malgré de nombreux problèmes au Royaume-Uni, il s’agit de différences significatives qui méritent d’être notées.

D’une manière sincère, Rob a expliqué sa profonde admiration pour le NHS, qui allait bien au-delà de sa fourniture de soins de santé gratuits. Il a parlé avec passion du dévouement et des compétences remarquables dont a fait preuve le personnel et les hôpitaux pendant la lutte de son fils contre le cancer.

Le jour de son 41e anniversaire en janvier 2018, Henry, qui n’avait alors que deux ans et demi, est décédé après un dur combat de deux ans contre une tumeur au cerveau.

Concernant son défunt fils Henry, Rob a expliqué : « Si vous ne le savez pas, j’ai eu un fils qui est décédé des suites d’une tumeur au cerveau à l’âge de deux ans en 2018.

Il a passé sept mois au Great Ormond Street Hospital (GOSH) et sept mois supplémentaires à l’hôpital Whittington, au nord de Londres. Ces deux institutions étaient exceptionnelles et les soins que nous avons reçus du personnel, notamment des infirmières et des médecins, étaient tout simplement miraculeux. Le National Health Service (NHS), qui a fourni ces soins, occupe une place particulière dans mon cœur.

Cela survient après que Rob ait admis que lui et sa femme n’avaient pas pu quitter Londres en raison de tous leurs souvenirs de la ville avec Henry, et a révélé qu’il voulait acheter leur ancienne maison où Henry est décédé.

Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.
Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.

Dans une conversation sincère et sincère sur Desert Island Discs en juillet, l’acteur de Deadpool a exprimé le souhait de passer ses derniers instants dans le même salon où il a fait ses adieux à son enfant, suivi de l’arrivée de son quatrième fils plus tard dans l’année.

Au lieu de vivre là-bas maintenant, nous avons déménagé. Lors de notre départ, j’ai demandé au propriétaire : « D’ailleurs, si jamais vous décidez de vendre ce bien, merci de m’en informer au préalable car je serais intéressé par l’achat.

Quand j’aurai 81 ans, j’espère pouvoir revenir ici et mourir, tout comme c’est là que mon premier fils est décédé et que mon deuxième fils est né.

En tant qu’admirateur dévoué, je ne peux m’empêcher d’exprimer la profonde signification de cette ville dans laquelle nous vivons. Ma compagne, Leah, et moi sommes solidement enracinés ici pour de nombreuses raisons. L’une de ces raisons est profondément personnelle : c’est mon rituel de visiter occasionnellement le terrain de jeu et de passer mes mains sur le toboggan sur lequel le petit Henry a glissé autrefois. C’est un acte simple, mais qui me relie à la ville d’une manière intime que les mots peuvent difficilement décrire.

J’aime croiser les infirmières qui s’occupaient de lui de temps en temps. Ces rencontres me rappellent à quel point Londres compte pour moi car c’est là qu’il a reçu des soins exceptionnels.

En dehors de cela, Rob a partagé ses idées avec la présentatrice Lauren Laverne concernant les derniers mois d’Henry et la façon dont ses autres fils ont géré cette situation.

Il se souvient : « Son décès s’est déroulé dans le calme. Durant les quatre mois et demi où nous savions qu’il approchait de la fin, ses frères étaient incroyablement proches de lui.

Le comédien Rob Delaney dit que le NHS lui tient « très à cœur » après les « magnifiques » soins que son fils Henry a reçus avant sa mort tragique d'un cancer du cerveau à l'âge de deux ans.

Dans une scène déchirante, ils ont tous montré un lien incroyable… J’ai vu des enfants de quatre et six ans bercer tendrement le corps de leur frère décédé. Ils ont fait preuve d’une compassion remarquable, s’occupant de lui avec diligence alors qu’ils étaient aux prises avec des tâches complexes nécessaires à ses soins, particulièrement exigeantes en raison de ses besoins uniques.

«Je déteste juste penser qu’ils ne l’auront pas. Je déteste vraiment ça. 

Ils discutent constamment de lui avec affection, leurs visages s’illuminent lorsqu’ils en parlent et ils aiment regarder des photos de lui. Il a une présence significative dans notre quotidien.

Rob a mentionné qu’il continue de discuter avec son enfant « plein d’esprit et intelligent », avouant : « J’ai du mal avec les bonnes phrases, je m’en fiche. Nous communiquons. Je me demande s’il peut me comprendre. Cela ne fait aucune différence… C’est mon fils, je suis son père et je l’adore.

2024-11-13 21:51