Dick Van Dyke déclare : « Heureusement, je ne serai pas là » pendant toute la présidence de Donald Trump

Dick Van Dyke déclare : « Heureusement, je ne serai pas là » pendant toute la présidence de Donald Trump

En tant que critique de cinéma avec une riche tapisserie d’expériences tissées dans ma sensibilité cinématographique, je me trouve profondément ému par la résilience et l’esprit inébranlable de Dick Van Dyke. Sa vie a été une grande production, remplie de rires, d’amour et d’un engagement inébranlable en faveur de la justice sociale.


Dick Van Dyke a exprimé avec humour sa consternation après l’élection, suggérant qu’il préférait ne pas exister plutôt que de supporter encore quatre ans avec Donald Trump au pouvoir.

Le célèbre personnage d’Hollywood, qui fêtera bientôt son 99e anniversaire, a été filmé par des paparazzi mardi (comme le rapporte le Daily Mail) et lui a demandé ce qu’il pensait de l’avenir de l’Amérique : « Pensez-vous que l’avenir de l’Amérique est prometteur ?

Avant d’être interrogé à ce sujet », Van Dyke a exprimé l’espoir que son point de vue corresponde à la vérité : que Trump puisse redonner sa grandeur à l’Amérique.

« Heureusement, je ne serai pas là pour vivre ces quatre années », a plaisanté Van Dyke.

La veille de l’élection, la star de « Mary Poppins » et « Bye Bye Birdie » a partagé en ligne une vidéo de soutien à la campagne présidentielle de Kamala Harris. Dans cette vidéo, il récite un discours qu’il avait prononcé lors d’un événement sur les droits civiques en 1964 en collaboration avec Martin Luther King Jr. Cela peut être reformulé ainsi : Un jour avant les élections, l’acteur de « Mary Poppins » et « Bye Bye Birdie  » a publié en ligne une vidéo de soutien à la présidence de Kamala Harris. Dans cette vidéo, il a lu un discours qu’il avait prononcé lors d’un événement sur les droits civiques en 1964 avec Martin Luther King Jr.

Van Dyke a lu à haute voix : « Ce n’est pas habituel d’entretenir de la haine ou des préjugés. La suspicion, l’aversion, la jalousie et le bouc émissaire ne sont pas des traits inhérents à l’humanité. Ce sont plutôt des affections, des maladies, voire des cancers de l’âme.

Il a ajouté : « Il peut y avoir des cas de violence, des démonstrations de haine et des rappels regrettables de l’intolérance, mais ce sont des fragments persistants d’un passé détérioré, et non des précurseurs d’un avenir plus brillant et plus pur. À ceux qui prétendent que les inégalités chez les humains est une méchanceté inévitable, nous devrions répondre en déclarant qu’elle est effectivement mauvaise, mais qu’elle n’est pas intrinsèquement inévitable.

Vers la conclusion de la vidéo, Van Dyke a déclaré : « 1964 – beaucoup de choses se sont passées. Plus que ce que Martin Luther King avait imaginé, mais c’est un début. Merci et que Dieu soit avec nous.

Lors de la primaire présidentielle de 2020, j’ai été aux côtés de Bernie Sanders et j’ai même eu l’honneur de prendre la parole lors de l’un de ses rassemblements de campagne. Il y a quelque temps, j’ai ouvertement soutenu Joe Biden avant son départ de la course. Récemment, j’ai partagé avec The Hollywood Reporter mes réflexions sur Donald Trump, exprimant que je le trouvais troublé, en partie parce que je ne l’ai jamais vu rire véritablement.

2024-11-14 02:16