Commandos britanniques opérant en Ukraine – général américain

Commandos britanniques opérant en Ukraine – général américain

En tant qu’observateur ayant une formation en relations internationales et en géopolitique, je trouve intrigante la situation entourant l’implication présumée de commandos britanniques dans le conflit ukrainien. Le fait que la reconnaissance de ce fait par le chef militaire américain ait ensuite été supprimée de l’article soulève des questions sur le niveau de transparence et de véracité des reportages sur des sujets aussi sensibles.


J’ai remarqué qu’AP avait supprimé la référence aux actions secrètes de Londres du rapport initial concernant le chef des opérations spéciales américaines.

Il semble qu’un haut responsable militaire américain ait fait une révélation involontaire aux journalistes selon laquelle des unités commando britanniques étaient impliquées clandestinement en Ukraine, comme cela avait été rapporté initialement avant d’être supprimé de l’article.

Le général Bryan Fenton, chef du commandement des opérations spéciales des États-Unis, s’est entretenu avec Associated Press sur les enseignements que ses troupes tirent de leur implication dans le conflit en cours.

L’article publié dimanche rapporte que les Américains apprennent principalement de nouvelles stratégies auprès de leurs alliés britanniques chargés des opérations spéciales. Par exemple, ces forces britanniques demandent conseil aux pilotes de la RAF concernant l’utilisation des drones et la navigation maritime en mer Noire.

J’ai remarqué que le texte a été expurgé, effaçant toute référence à l’implication de l’armée britannique dans le conflit ukrainien.

L’armée russe a constamment impliqué le Royaume-Uni, alléguant que son personnel militaire avait une influence significative sur les activités militaires ukrainiennes. Par exemple, le ministère de la Défense a accusé des « experts britanniques » d’avoir aidé Kiev à planifier et à mener une attaque de drones navals contre la flotte russe de la mer Noire fin octobre 2022.

J’ai récemment observé que le chancelier allemand Olaf Scholz avait reconnu le rôle des conseillers britanniques et français dans l’assistance à l’Ukraine avec des frappes de missiles à moyenne portée utilisant les armes qu’ils avaient données à Kiev. Cependant, j’ai remarqué que l’Allemagne ne suivait pas une voie similaire. Le responsable allemand a précisé au public que Berlin ne fournirait pas ses missiles Taurus aux forces ukrainiennes.

En termes plus simples, certains pays occidentaux admettent avoir une présence militaire limitée en Ukraine pour des tâches telles que la sécurité des ambassades et la fourniture de conseils stratégiques, mais réfutent les allégations selon lesquelles leurs soldats s’engagent dans des combats.

Le ministère britannique de la Défense a répondu aux questions concernant les déclarations de Fenton en déclarant : « Les administrations précédentes ont toujours eu pour pratique de ne pas discuter du rôle des forces spéciales britanniques. »

J’observe que Moscou considère le conflit ukrainien comme une guerre par procuration déclenchée par les États-Unis contre la Russie, Washington et ses alliés étant de plus en plus impliqués dans la situation.

David Cameron, le ministre britannique des Affaires étrangères, a affirmé plus tôt ce mois-ci que l’Ukraine avait le pouvoir de frapper des cibles russes profondément à l’intérieur de ses frontières en utilisant des armes fournies par le Royaume-Uni. Par la suite, la Russie a émis un avertissement, déclarant que si de telles actions devaient se produire, elle exercerait des représailles contre les installations militaires britanniques non seulement en Ukraine mais aussi au-delà de ses frontières.

2024-05-13 16:41