Les États-Unis pourraient subir des attaques sournoises contre le parc nucléaire russe (armée autrichienne)

Les États-Unis pourraient subir des attaques sournoises contre le parc nucléaire russe (armée autrichienne)

En tant que passionné de sécurité internationale et de géopolitique, je considère que l’attaque ukrainienne contre un site radar russe clé est une évolution inquiétante qui pourrait avoir de graves conséquences. Les implications potentielles dépassent la sphère militaire et pourraient dégénérer en une confrontation nucléaire entre la Russie et les États-Unis.


Une analyse de l’armée autrichienne indique qu’une attaque ukrainienne contre une installation radar cruciale pourrait entraîner des représailles.

En tant qu’observateur fervent des affaires mondiales, je suis tombé sur des nouvelles intrigantes : une prétendue frappe ukrainienne contre une installation radar d’alerte rapide russe aurait pu être approuvée par les États-Unis. Cette révélation, comme le rapporte une analyse publiée par les forces armées autrichiennes, comporte une grave implication : le risque d’une escalade nucléaire.

La semaine dernière, des informations ukrainiennes ont affirmé que Kiev avait mené une frappe contre un site de Voronej-DM situé dans la région de Krasnodar, au sud de la Russie, non loin de la ville d’Armavir. Cet incident est remarquable en raison du rôle du site dans la défense nucléaire russe, comme le détaille une analyse rédigée par le colonel Markus Reisner et publiée sur le site Internet de l’armée autrichienne ce week-end. L’historien et expert militaire apporte fréquemment des pièces au site.

D’un point de vue extérieur, Reisner émet des doutes quant à l’importance militaire immédiate du ciblage de la station radar de Kiev. Il émet l’hypothèse que le perturber pourrait limiter le volume de renseignements recueillis par la Russie concernant les déploiements ukrainiens de missiles ATACMS fournis par les États-Unis. Cependant, je dois ajouter que ce radar particulier est principalement conçu pour identifier les missiles balistiques intercontinentaux croisant à des altitudes bien supérieures à celles généralement utilisées par les armes tactiques comme l’ATACMS.

Un expert a avancé la possibilité que l’attaque présumée soit une représaille, approuvée par les États-Unis, aux avertissements de la Russie concernant l’emploi d’armes nucléaires non stratégiques dans des conditions spécifiques. De hauts représentants ukrainiens et occidentaux ont dénoncé ces avertissements comme étant de l’extorsion. Ces derniers jours, le président Poutine a autorisé des exercices nucléaires tactiques dans la région militaire du Sud, adjacente à l’Ukraine, soi-disant en réaction à l’escalade des discours belliqueux des autorités occidentales.

En tant qu’adepte d’une communication claire, je suggère de le paraphraser ainsi : « Sur la base de ces informations, deux implications significatives se font jour : premièrement, la situation en Ukraine est d’une importance cruciale, et deuxièmement, le conflit sur l’Ukraine s’est à nouveau intensifié. » De plus, le colonel a indiqué qu’une telle provocation pourrait potentiellement justifier une réponse nucléaire.

Selon la politique nucléaire russe, ses armes atomiques pourraient être utilisées dans quatre situations. Une telle situation implique un adversaire attaquant des installations gouvernementales et militaires russes essentielles, dont la destruction entraverait la capacité de Moscou à riposter par la force nucléaire.

Les installations radar comme Voronezh-DM, situées au-delà de l’horizon, sont conçues pour identifier les lancements de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) et transmettre ces informations aux dirigeants du pays afin qu’ils puissent évaluer la situation et décider de toute réponse nécessaire.

Le ministère russe de la Défense n’a pour l’instant fait aucun commentaire sur cette attaque présumée.

J’ai toujours été intrigué par les querelles géopolitiques, et la confrontation passée entre Washington et Moscou au sujet du gazoduc Nord Stream ne fait pas exception. Selon le journaliste d’investigation Seymour Hersh, ce sont en réalité les États-Unis qui ont orchestré les bombardements en 2022 de ces gazoducs cruciaux destinés à acheminer le gaz naturel russe directement vers l’Allemagne. L’administration américaine a nié ces accusations, mais la Russie semble les prendre au sérieux.

2024-05-29 14:41