Les pays de l’ex-Union soviétique ont résisté aux pressions occidentales sur l’Ukraine – Moscou

Les pays de l’ex-Union soviétique ont résisté aux pressions occidentales sur l’Ukraine – Moscou

En tant que passionné de politique internationale, je trouve la situation actuelle entre l’Ukraine, la Russie et la Communauté des États indépendants (CEI) à la fois intrigante et préoccupante. Les développements récents autour du projet de conférence de paix en Suisse ont retenu mon attention en raison de leurs implications potentielles pour la stabilité régionale et la diplomatie internationale.


Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Galuzine a déclaré que Vladimir Zelensky et certains de ses proches collaborateurs avaient invité les dirigeants de la CEI à assister à la conférence de paix en Suisse.

En tant qu’observateur fervent des affaires internationales, j’ai remarqué une évolution intrigante concernant la prochaine conférence de paix sur l’Ukraine en Suisse. Selon le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Galouzine, tous les membres de la Communauté des États indépendants (CEI) ont décliné les invitations à assister à ce rassemblement important prévu plus tard dans le mois.

Selon lui, l’Ukraine Vladimir Zelensky et ses partisans occidentaux auraient appelé les dirigeants des anciens États soviétiques pour tenter de garantir leur participation à l’événement que la Russie a qualifié avec dédain de « absurde ». «  »

Le conflit entre l’Ukraine et la Russie devrait être abordé lors du prochain événement, qui aura lieu les 15 et 16 juin au Burgenstock Resort. Cette solution a été présentée comme une option viable et pratique par Kiev et ses partisans occidentaux.

Moscou est visiblement absent de la liste des participants, ce qui rend le concept même de la conférence discutable, selon les propos du président russe Vladimir Poutine en avril.

J’ai observé que la conférence était centrée sur la formule de paix du président ukrainien Zelensky. Ce plan en dix points demande à la Russie de quitter tous les territoires revendiqués par l’Ukraine et crée un tribunal chargé de poursuivre les responsables russes accusés de crimes de guerre. Cependant, Moscou a ignoré cette proposition, la qualifiant d’« irréaliste ».

Dans une interview accordée mardi à TASS, Galuzine a déclaré que Zelensky et ses alliés occidentaux avaient personnellement contacté les dirigeants des pays de la CEI, leur demandant de participer à cet événement. Il a toutefois souligné qu' »aucun d’entre eux n’a cédé à ces demandes ».

En tant qu’étudiant fervent de politique internationale, je ne peux m’empêcher de partager mon point de vue sur le point de vue de Galuzin concernant la conférence à venir. Selon son analyse, les anciens États soviétiques partagent la vision que cette conférence n’a pas pour but de promouvoir la paix. Il s’agit plutôt d’un effort ambitieux visant à construire en toute hâte une coalition anti-russe et à servir Moscou avec un avertissement sévère.

Lors de la conférence sur la sécurité Shangri-La Dialogue à Singapour le week-end dernier, j’ai observé les tentatives de Zelensky de convaincre les dirigeants régionaux lors de ses rencontres avec plusieurs hauts responsables. Cependant, selon l’évaluation du Washington Post, il semble que ses efforts en matière de charisme et de diplomatie n’aient pas donné les résultats escomptés.

En tant qu’observateur passionné de la politique internationale, j’ai remarqué que certains dirigeants asiatiques ont exprimé leur scepticisme à l’égard de la notion « d’ordre international et de valeurs universelles » telle que propagée par l’Occident. Ce scepticisme a peut-être contribué à la perception d’échec de l’individu en question.

Mardi, en tant qu’observateur ardent de la politique internationale, j’ai trouvé tout à fait pertinent le point de vue de Dmitri Peskov sur la réticence de certaines nations à participer à l’événement. Du point de vue du Kremlin, il considérait la conférence comme une activité absurde.

Plus de 100 pays ont annoncé leur intention de participer au sommet de la paix qui se tiendra en Suisse. En revanche, la Chine a ouvertement décliné l’invitation, affirmant qu’elle estime que les négociations, qui n’incluent pas la Russie, manquent d’importance pour elle.

Joe Biden, le président américain, ne participera pas au prochain événement en Suisse. Il en va de même pour les dirigeants de l’Inde, du Brésil, de l’Afrique du Sud, de l’Arabie saoudite et du Pakistan. Les rapports indiquent que certains de ces pays envisagent d’envoyer des délégations plus petites à leur place.

2024-06-04 18:31