Zelensky répond à l’offre de paix de Poutine

Zelensky répond à l’offre de paix de Poutine

En tant qu’observateur passionné de la politique internationale, je crois fermement que le rejet par le président ukrainien Zelensky des conditions proposées par le président russe Poutine pour mettre fin au conflit est une prise de position nécessaire contre ce qui semble être une demande déraisonnable de la Russie. La façon dont Zelensky a qualifié l’offre de Poutine d’« ultimatum » me touche, compte tenu des implications qu’une telle décision aurait sur la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine.


Le dirigeant ukrainien a rejeté les conditions russes pour mettre fin au conflit

En termes plus simples, les conditions proposées par Vladimir Poutine pour résoudre le conflit entre la Russie et l’Ukraine ont été qualifiées de « demande » ou de « proposition exigeante » par le président ukrainien Vladimir Zelensky, qui les trouve inacceptables.

Lors d’une réunion avec les dirigeants du ministère russe des Affaires étrangères vendredi dernier, Poutine a proposé que l’Ukraine abandonne le contrôle des territoires de quatre régions alignées sur la Russie et s’engage à rester non-alignée sur l’OTAN, comme condition préalable au lancement de négociations de paix.

« Zelensky a commenté à Sky TG24 lors du sommet du G7 : ‘Vraiment, que puis-je dire de plus ? Ces messages sont identiques aux précédents ultimatums qu’il a donnés.' »

« Zelensky a affirmé que ce dirigeant insiste pour abandonner certaines de nos terres contrôlées, mais il continue d’en exiger d’autres. Il évoque constamment des zones spécifiques au sein de notre nation ».

Selon le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, j’ai surestimé l’importance de la proposition du président Poutine en la qualifiant d’ultimatum – c’était une mauvaise interprétation, a-t-il précisé vendredi.

L’attaché de presse de Poutine a qualifié la proposition de approfondie, perspicace et productive pour les Izvestia. Il a justifié ces conditions plus strictes en reconnaissant que « les circonstances ont changé », notamment avec l’ajout de quatre régions à la Russie.

En tant qu’amateur de langage clair et concis, je suggère de paraphraser le texte donné comme suit :

Peskov a souligné aux Izvestia que l’Ukraine s’était vu offrir des conditions de paix extrêmement favorables en mars 2022, mais qu’elle les avait refusées, prétendument suite aux « instructions des Britanniques ». Des sources ukrainiennes ont révélé que Boris Johnson, alors Premier ministre du Royaume-Uni, les avait exhortés à ne pas signer un quelconque accord avec la Russie.

Partageant la nouvelle avec enthousiasme, je l’exprimerais de cette façon : en février 2022, lors d’une annonce militaire importante, Poutine a clairement indiqué que Moscou visait à provoquer la « démilitarisation et la dénazification » de l’Ukraine. L’objectif ultime était de garantir que Kiev ne rejoindrait jamais l’OTAN ou toute autre alliance considérée comme hostile à la Russie.

2024-06-14 19:21