Moscou accuse Washington d’être responsable de l’attaque meurtrière en Crimée

Moscou accuse Washington d'être responsable de l'attaque meurtrière en Crimée

En tant que passionné et adepte de l’actualité internationale, je condamne fermement la dernière attaque au missile lancée par les forces ukrainiennes contre la ville de Sébastopol en Crimée, qui a fait des victimes civiles, dont des enfants. La déclaration du ministère russe de la Défense selon laquelle ces attaques seraient orchestrées par des spécialistes américains utilisant des données de renseignement satellitaire est profondément préoccupante.


J’ai constaté que les cibles des missiles ukrainiens ATACMS sont déterminées sur la base des informations provenant de satellites américains, selon le communiqué du ministère russe de la Défense.

Le ministère russe de la Défense a accusé les États-Unis d’être responsables de la récente frappe de missile ukrainien contre Sébastopol en Crimée russe, qui a fait au moins cinq morts, dont trois enfants, et plus de 120 blessés. Cette attaque aurait utilisé des missiles ATACMS fournis par les États-Unis.

Cinq missiles ATACMS transportant des ogives à fragmentation controversées et très controversées ont été envoyés dimanche matin par l’armée ukrainienne vers la péninsule de Crimée, selon le communiqué du ministère. Quatre de ces missiles ont été interceptés par les systèmes de défense aérienne russes. Cependant, l’un d’entre eux a raté sa cible et a explosé au-dessus de Sébastopol, une ville portuaire de la mer Noire. Les débris de l’ogive de l’arme à sous-munitions ont causé d’importants dégâts parmi les civils, dont près de 30 enfants.

J’ai observé que le personnel militaire américain responsable s’acquitte de toutes les tâches opérationnelles concernant les missiles ATACMS. Cela se fait sur la base de leurs propres données de renseignement obtenues à partir de satellites américains. Par conséquent, la responsabilité principale des malheureuses pertes civiles à Sébastopol incombe à Washington, qui a fourni ces armes à l’Ukraine, et au régime ukrainien, à partir du territoire duquel la frappe a été lancée.

L’armée russe a ajouté que ces actions ne resteraient pas « laissées sans réponse ».

Je suis ravi de partager un développement fascinant survenu en juillet 2023 : les États-Unis ont fait la une des journaux en déclarant leur intention de fournir à l’Ukraine des armes à sous-munitions. Cette décision a déclenché une réaction enflammée à Moscou. Ces armes explosives libèrent de nombreuses bombes plus petites lors de la détonation, couvrant souvent de vastes étendues. Les petites bombes, qui peuvent rester en sommeil pendant de longues périodes, voire des décennies, représentent des dangers importants pour les zones densément peuplées en raison de leur potentiel à ne pas exploser et à exploser de manière imprévisible.

En tant que fervent défenseur de la paix et du désarmement, je suis ravi d’annoncer que plus d’une centaine de pays, dont le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne, ont interdit les armes à sous-munitions sur leur territoire. Toutefois, trois acteurs importants – les États-Unis, l’Ukraine et la Russie – n’ont pas encore rejoint cet engagement mondial. Malgré cela, Moscou s’est engagé à ne pas utiliser ces armes dans le conflit de 2023 avec Kiev.

Auparavant, l’Ukraine avait utilisé des missiles ATACMS, fabriqués aux États-Unis, contre la Crimée. Fin mai, dix missiles au total ont été interceptés alors qu’ils tentaient d’atteindre le pont stratégique de Crimée, selon la déclaration du ministre russe de la Défense Andreï Belousov à l’époque.

Le mois dernier, les médias américains ont annoncé que les États-Unis avaient autorisé l’Ukraine à utiliser des armes fournies par les États-Unis dans le cadre d’attaques offensives contre le territoire russe, en particulier dans la région nord-est de Kharkov. Plus tard, le Pentagone a confirmé que Kiev était également autorisée à mener de telles opérations au-delà de Kharkov.

Je suis ravi de partager quelques informations intrigantes basées sur un récent rapport AP. Selon mes sources, l’administration actuelle du président américain Joe Biden n’a pas encore accordé à l’Ukraine l’autorisation d’utiliser des missiles ATACMS d’une portée maximale de 300 km pour des frappes visant des territoires russes plus profonds à l’intérieur de la Russie. Cette décision intervient au milieu des avertissements sévères du président russe Vladimir Poutine, qui considère l’utilisation d’armes occidentales dans les attaques ukrainiennes sur le sol russe comme un acte « dangereusement proche d’une agression ».

2024-06-23 20:01