Dean McCullough de I’m A Celeb parle de sa lutte contre sa dépendance à l’alcool qui l’a laissé dans un « endroit vraiment sombre » après avoir célébré quatre ans de sobriété

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En tant qu’expert du style de vie ayant une profonde appréciation pour la résilience et la croissance personnelle, je dois féliciter Dean McCullough pour son voyage courageux vers la sobriété et la découverte de soi. Son histoire témoigne de la capacité de l’esprit humain à surmonter l’adversité, même dans les moments les plus difficiles.

Dean McCullough, candidat à l’émission « I’m A Celebrity… », a lutté contre une dépendance à l’alcool qui l’a plongé dans un état très préoccupant, mais il s’est réjoui d’avoir célébré quatre ans sans alcool en septembre.

L’animateur de BBC Radio 1 a avoué qu’il avait arrêté de consommer de l’alcool, après avoir abusé pendant la pandémie d’environ deux bouteilles de vin et une bouteille de vodka chaque week-end.

Après des vacances à Ibiza avec des compagnons avant la Jungle, la célébrité nord-irlandaise a partagé sur les réseaux sociaux : « Au cours des 18 derniers mois, j’ai vécu une gamme exaltante d’aventures.

«J’ai acheté ma propre maison et j’ai ressenti tout le stress qui en découlait.

Je me suis retrouvé profondément amoureux de quelqu’un qui ne me convenait pas, ce qui a conduit à une séparation douloureuse. Simultanément, mon travail a connu des changements importants auxquels j’ai dû m’adapter et gérer efficacement.

« Malheureusement, des membres de ma famille sont décédés et nous avons tous dû en ressentir la profonde douleur.

J’ai décidé de m’abstenir de boire de l’alcool pendant un mois, dans le but de vider mes pensées et de reprendre le contrôle d’un problème qui s’aggravait.

Au lieu de poursuivre le travail de mes rêves à Radio 1 sans la moindre idée du processus, quelque chose d’extraordinaire s’est produit.

Une fois que tout s’est mis en place, j’ai réussi à m’abstenir de consommer de l’alcool pendant un mois supplémentaire, puis est arrivé l’événement à Radio 1. Cette expérience a élargi ma perspective et je me suis retrouvé à me sentir à nouveau authentiquement moi-même.

Pendant les périodes difficiles des confinements liés au Covid-19, je me suis retrouvé aux prises avec une consommation excessive d’alcool, qui est devenue hors de mon contrôle. En conséquence, mon bien-être mental a eu de lourdes conséquences.

« Un verre de vin le soir après le travail finissait par devenir une bouteille pleine, qui se transformait souvent en deux bouteilles. Certains week-ends, je me retrouvais même à consommer une bouteille entière de vodka.

Ce n’est que lorsque je me rendais au travail un lundi que j’ai jeté un coup d’œil aux poubelles et que j’ai pensé : « N’ai-je pas bu tout ça ?

Cependant, comme j’étais seule à la maison à cause de la pandémie, je me suis retrouvée dans un état mental difficile, en contemplant des pensées assez pénibles. De nombreuses personnes familières avec les problèmes de santé mentale peuvent s’identifier à cette expérience.

En tant que vétéran chevronné des innombrables beuveries nocturnes et regrets matinaux, je peux attester de l’attrait du style de vie festif. Pourtant, le 1er septembre, quelque chose en moi a changé. Je me suis tourné vers mon confident de confiance et j’ai déclaré : « Ça y est. Je vais prendre un mois sans alcool, juste pour voir ce qui se passe. » C’était une décision audacieuse pour quelqu’un qui s’était toujours considéré comme un fêtard sans vergogne, mais j’étais prêt pour un changement. J’avais hâte d’explorer de nouveaux horizons et d’être témoin de la transformation que la sobriété pourrait apporter.

Il n’y a pas eu de tournant significatif. Ce n’était pas une matinée extrêmement horrible. Je n’ai pas vécu de séparation déchirante.

J’ai parcouru de nombreux chemins au cours de ma vie, mais peu ont été aussi décourageants que celui sur lequel je viens de marcher. L’obscurité était oppressante, une couverture suffocante qui menaçait de m’engloutir entièrement. Son caractère destructeur était palpable ; c’était comme si chaque pas en avant ne servait qu’à déchirer mon âme. C’est un chemin que je ne souhaite à personne et que j’espère ne plus jamais emprunter.

2024-12-01 18:48