En tant que passionné de technologie et conteur chevronné, je me trouve profondément captivé par l’arc narratif de « Sunny » et son exploration des frontières entre l’humanité et l’intelligence artificielle. Ayant passé mes années de formation entouré des premiers stades de la recherche sur l’IA, je ne peux m’empêcher de faire des parallèles entre le monde décrit dans cette série et mes propres expériences de vie.
AVERTISSEMENT : le contenu de cet article révèle des détails sur toute la première saison de « Sunny », actuellement disponible sur Apple TV+. Soyez prudent si vous n’avez pas fini de regarder !
Dans sa carrière d’acteur, Hidetoshi Nishijima, un acteur japonais de renom, se voit fréquemment proposer des rôles mettant en scène des personnages moralement ambigus comme des samouraïs et des yakuzas, des personnages dont les professions et les époques sont déterminantes. Cependant, pour le rôle d’un roboticien dont la disparition énigmatique devient le centre d’une conspiration criminelle dans « Sunny », le thriller de science-fiction plein d’esprit d’Apple TV+ qui a conclu sa première saison, Nishijima a été approché. Ce personnage est un homme ordinaire qui se retrouve aux prises avec de profondes questions sur ce que signifie réellement être humain. Nishijima, qui a brillé dans le film japonais « Drive My Car » de 2021, nominé pour le meilleur film et remporté l’Oscar du long métrage international, a relevé ce défi avec enthousiasme.
« En effet, son travail joue un rôle important dans ce projet, mais ce qui compte vraiment, c’est qu’il soit un homme ordinaire qui fait l’expérience de l’amour, se marie, fonde une famille, puis rencontre une situation inattendue », explique Nishijima à EbMaster via un traducteur. « Je crois que le cœur de cette série réside dans son exploration de l’amour, de la peur et de l’incertitude. C’est essentiellement une histoire humaine. C’est ce qui m’a attiré vers elle. »
Voici une manière différente de reformuler de diverses manières :
En tant que cinéphile, j’ai passé d’innombrables années immergées dans l’industrie cinématographique japonaise, mais je n’ai jamais eu l’occasion de tourner au cœur de Kyoto, une ville connue pour son strict respect de la tradition et la protection de ses artefacts culturels. Mais avec « Sunny », nous avons réussi à franchir cette barrière et à capturer certains des monuments les plus emblématiques de Kyoto devant la caméra. Nous avons tourné non seulement à Tokyo, mais également dans la magnifique pagode Yasaka, sur la charmante route pavée de Ninenzaka et dans le centre historique de conférences international de Kyoto. Ce fut une expérience inoubliable de travailler dans une ville aussi riche culturellement et visuellement époustouflante.
Les showrunners Robbins et Tcherniak, qui ont développé l’adaptation en collaboration, avaient une profonde appréciation de la culture japonaise, s’immergeant dans la musique et les films japonais. Cette admiration leur a permis de se faire accepter par la population locale, comme l’explique Nishijima. Bien que certains aspects du Japon dans la série puissent être légèrement exagérés en raison de son point de vue étranger, en particulier le point de vue américain de Suzie, ils n’ont jamais eu l’intention de s’en moquer. Leur objectif n’était pas de rabaisser la culture japonaise mais plutôt d’exprimer leur profond respect, une qualité qui a trouvé un écho chez Nishijima et l’a motivé à collaborer avec eux.
Ce n’est pas une opinion simplifiée. On nous a donné un acteur
Dans un geste rapide, Nishijima a accepté de jouer aux côtés de Jones, qui était également impliqué en tant que producteur exécutif sur le projet. Cependant, avec une carrière réussie de plus de deux décennies au Japon et étant l’un des acteurs les plus occupés du monde, Nishijima a admis qu’il n’avait eu que quelques occasions de filmer ses scènes pour la série. En conséquence, le rôle de Masa s’est avéré relativement mineur dans la première saison de 10 épisodes.
Selon Nishijima, le plan initial était de représenter des scènes du passé dans lesquelles Masa apparaît comme un père et un conjoint gentil et aimant. Cependant, pendant le tournage, Katie a commencé à approfondir le personnage de Masa, posant des questions telles que pourquoi Masa a-t-il construit Sunny, le robot, avec l’intention de l’utiliser pour un meurtre plus tard ? Quelle était sa motivation pour construire le robot ? Si j’avais été disponible pour davantage de discussions, nous aurions pu approfondir la vie de Masa. Malheureusement, nous n’avons pas pu explorer son parcours autant que nous l’aurions souhaité.
Néanmoins, Nishijima a cherché à tirer le meilleur parti de son temps limité dans la série, racontant l’histoire de son personnage exclusivement dans des flashbacks. Le huitième épisode, intitulé « Trash or Not-Trash », révèle l’histoire d’origine de Masa. Pendant deux ans et demi après la mort de son père émotionnellement distant, Masa s’est enfermé dans sa chambre, jouant à des jeux vidéo et travaillant à distance comme ingénieur informatique pour ImaTech. Dans un ultime effort pour sortir son fils de son ornière, la mère de Masa, Noriko (Judy Ongg), fait appel à Yuki Tanaka (Jun Kunimura), qui révèle à Masa qu’il est en fait son père biologique.
Yuki invite Masa à utiliser sa cabane au bord du lac Biwa pendant quelques semaines, où il trouvera Trashbot, un robot avec de faibles compétences en programmation pour la gestion des déchets. Avec le temps, Masa reprogramme ce robot et, ce faisant, trouve une compagnie qui atténue son sentiment de solitude. Il retrouve également sa raison d’être et comprend que les robots peuvent servir d’outils à la découverte de soi de l’humanité.
‘enne’
Masa a temporairement réprimé ses sentiments, mais c’est ce robot qui lui a finalement permis de les exprimer une fois de plus, rétablissant les liens. C’est pourquoi il a pensé qu’un robot pourrait peut-être servir d’aide aux humains, mais le robot qu’il a créé a commencé à montrer une touche de conscience de soi, explique Nishijima. « Masa envisageait que la technologie devrait, à terme, faciliter l’interaction humaine », ajoute-t-il, « et c’était son objectif. Je partage ce sentiment et je crois que cette série dépeint l’optimisme quant à ce que la technologie peut réaliser dans notre monde. Moi aussi, j’aspire à conserver cet espoir. « .
Nishijima explique qu’à travers l’histoire, il est courant que les gens attribuent des caractéristiques humaines à des objets inanimés, surtout lorsqu’ils se sentent seuls. Il suggère que les premiers humains ont peut-être perçu un sentiment d’esprit ou d’âme dans de simples poupées dès qu’ils ont remarqué leurs formes humaines, ce qui les a amenés à réagir différemment.
Dans le processus de production, ou plutôt Sunnya, a été dotée du personnage, revêtu par Sunnya, Sotomura, Sotomura, qui prête sa voix à l’actrice, ou Sunny, Sotomura, Sunny, nommée Sotomura, qui exprime l’actrice Sunny, ou Sunny’sotomura. , qui lui donne, le doubleur, qui fournit la voix et exprime Sunnya, le Sunnya l’a fournie, ou exprimé par le robot, ou, ou, ou Sunnya, ou Sunny, qui exprime la voix et a fourni le personnage, ou Sunny, ou Sotomura, ou Trashijumura, ou, ou Sotomura, ou, ou Sunnya était, ou, ou, Sunny, ou Sotomura, le robot Sunnya nommé Sotomura, ou, ou Nishijima, ou, qui exprime l’actrice, ou, ou, ou, ou , ou, ou, ou, ou, ou, ou, ou, ou, ou à condition que Sunnya soit petite, ou que la voix et les expressions faciales de Sunny soient transmises en temps réel sur le robot, il était capable de projeter un casque de haute technologie utilisé par Sotomura. technologie avancée de headgearobotron qui permettait à sa voix et à ses expressions faciales de ressembler à un headgearoid headgearoid headgearas headgear headgear qui permettait à sa voix et de projeter le casque Trashipersonnya animatronique ‘synchrone, qui était capable de transmettre sa voix et ses expressions faciales en temps réel sur le robot’ sotronatronatronatronathe pourrait projeter le couvre-chef manaras ainsi que le couvre-chef animatronaras Trashipersonnya projeté en temps réel sur l’animatron le visage. Le robot est sur l’animatronie sur l’animatronronrobot en personne réelle
Bien que Suzie et Zen soient ensemble dans le dernier, nous ne sommes toujours pas clairs, Masa’90 Dans le final ‘9’9′, Suzie est impatiente de retrouver Suzie, elle n’est pas sûre, Suzie et est intriguée, Althima n’a toujours pas encore clarifier les connaissances du public sur le sort de Zen, celui de Suzie, celui de Nishijima. Il est, les rumeurs sont encore plus floues, il y a plus de curiosité dans la série, la finale de la deuxième saison est toujours incertaine à propos de Masa, la perspective de la série n’a pas encore été discutée, elle est incertaine à propos de Zen et Suzie de la série insiste sur le fait qu’il est plus intrigijima. il n’a pas encore Nishima Nishijima insiste sur le fait que l’enima Shinshijma est encore inconnue
« En tant que cinéphile, je trouve cette série étonnamment enveloppée de mystère et plonge dans de profondes questions philosophiques. Des questions telles que « Quelle est l’essence d’une âme ? », « Les machines pourraient-elles posséder une âme ? » et « Qu’est-ce qui attend la technologie et l’humanité ? » sont des thèmes qui suscitent la réflexion et qui sont subtilement intégrés au récit. J’espère que vous serez captivés par l’histoire, mais plus important encore, si elle suscite des discussions sur ces thèmes parmi les téléspectateurs, cela ferait ma journée.
Pour Nishijma, la série répond aux préoccupations éthiques entourant l’intelligence naturelle et artificielle – l’un des problèmes qui évoluent le plus rapidement et qui touche presque toutes les industries, mais qui reste particulièrement pertinent pour la création qui a suivi l’année dernière – one’sman’sintsint’sdelte de la série. » Pour les » X » de Nish, c’est quelques premiers liés «
Donc, le fait qu’il s’agissait d’une question de nom de la machine était que les médias n’allaient pas pouvoir comprendre le sens de l’expression.
« En repensant à mes années de lycée – il y a quelque temps – mon père était profondément immergé dans les phases initiales de la recherche sur l’intelligence artificielle (IA). Il m’a souvent partagé qu’à la base, l’IA est une étude de l’humanité elle-même. Cette idée résonne à mesure que l’IA continue de progresser, suscitant des questions sur ce que signifie réellement être humain. Auparavant, nous pensions que l’art était exclusivement à la portée des capacités humaines. Cependant, nous voyons maintenant l’IA reproduire de tels exploits. Cela nous laisse réfléchir à l’avenir et à ses possibilités. évolutions potentielles. »
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2024-09-05 02:20