Ayant suivi la tournure dramatique des événements dans la vie de Schrock et Charlie Sheen, je ne peux m’empêcher d’être profondément attristé par les derniers développements de cette situation malheureuse.
L’année dernière, je me suis retrouvé dans une vive altercation avec nul autre que le légendaire Charlie Sheen. Dans le feu de l’action, j’ai pris une décision hâtive et n’ai pas contesté les accusations d’agression portées contre lui. Mais maintenant, j’ai eu des doutes. Je voulais désespérément retirer ce plaidoyer et remettre les pendules à l’heure. Hélas, le cœur lourd de regret, un juge a rejeté ma demande de retrait de mon plaidoyer. Je ne peux que regarder les poursuites judiciaires contre moi se poursuivre, malgré mes désirs les plus profonds.
Electra Schrock, âgée de 48 ans, a déposé récemment un document pour retirer son plaidoyer déposé début janvier. Elle affirme que cette décision a été influencée par le fait qu’elle a été contrainte de consommer des médicaments psychotropes pendant sa détention après son arrestation pour l’incident du 20 décembre.
Elle avait espéré « blanchir son nom », a déclaré un ami proche à DailyMail.com avant l’audience de jeudi.
Dans un document soumis au tribunal le 9 juillet, Schrock a déclaré qu’elle n’était pas en mesure d’être jugée pour le moment en raison de l’impact de ses médicaments.
Lors d’une audience devant la Cour supérieure de Van Nuys, le juge Diego Edber a refusé de reconnaître que des raisons suffisantes avaient été présentées pour le déménagement proposé.
Le juge a expliqué qu’avant qu’un plaidoyer de culpabilité ou de non-contestation puisse être retiré, le tribunal doit avoir une raison valable pour le faire.
Le tribunal juge que la défense n’a pas fourni suffisamment de preuves pour répondre aux normes requises. Aucune raison valable n’a été présentée par eux, selon Edber.
Au moment où ce tribunal a entendu le plaidoyer de Mme Schrock, rien n’indiquait que des complications liées aux médicaments auraient nui à sa communication claire.
Le tribunal a déterminé que Mme Schrock répondait aux questions du tribunal et a par conséquent rejeté sa requête en retrait.
Récemment libérée de détention, Schrock a fait sa première apparition publique au palais de justice.
Après l’audience, la blonde bouddhiste a exprimé sa profonde déception à DailyMail.com, le juge ayant refusé d’autoriser sa demande de retrait de son plaidoyer. Elle s’est sentie déçue, car elle aurait été contaminée par son propre gouvernement et privée d’un procès équitable conformément à la Constitution.
À Malibu, Schrock, l’actuel propriétaire d’un dépôt-vente de vêtements, est accusé d’avoir tenté d’étrangler l’acteur de télévision, âgé de 58 ans, alors qu’il pénétrait dans sa résidence relativement modeste au deuxième étage.
Schrock, résidant dans un appartement loué sur trois étages et deux chambres, a été placé en garde à vue ce jour-là pour avoir prétendument infligé de graves blessures physiques à quelqu’un lors d’une dispute.
Lors de sa première comparution devant le tribunal le 26 décembre, la divorcée Schrock a d’abord déclaré son innocence face aux accusations.
J’ai suivi cette affaire de près, et il y a trois semaines, elle a pris la décision difficile de changer son plaidoyer en non-contestation devant le tribunal. En conséquence, le juge l’a condamnée à deux ans de probation formelle. Mais il ne s’agit pas de n’importe quelle probation : elle devra purger une libération conditionnelle dans un programme de traitement résidentiel pour toxicomanie. Cela signifie qu’elle y passera les 90 à 120 prochains jours pour tenter de vaincre sa dépendance.
La semaine dernière, Schrock a modifié son plaidoyer dans une déclaration judiciaire, expliquant qu’elle ne pouvait pas subir son procès en raison de conflits pharmaceutiques.
Dans le document fourni le 9 juillet, obtenu par DailyMail.com, Schrock a décrit avoir ressenti de graves effets secondaires liés aux médicaments – y compris des convulsions corporelles et des hallucinations incontrôlables – après avoir été obligée de prendre des antipsychotiques pendant sa détention au centre de détention régional Century à Lynwood, situé 14 miles au sud du centre-ville de Los Angeles.
J’ai toujours été profondément attiré par le monde de la médecine et de la santé. Mais je ne savais pas que ma fascination me mènerait sur un chemin sombre et déchirant. On m’a donné de l’Halopéridol en pensant que cela aiderait, mais au lieu de cela, cela a déclenché quelque chose de terrible en moi. Mon corps a commencé à convulser de manière incontrôlable, à se tordre et à avoir des spasmes d’une manière que je n’aurais jamais cru possible. Il s’agissait des redoutables « convulsions corporelles graves et incontrôlables », également appelées parkinsonisme. Et juste au moment où je pensais que les choses ne pouvaient pas être pires, j’ai commencé à ressentir de légères hallucinations – des images vives et troublantes qui dansaient devant mes yeux. Ce fut une épreuve terrifiante qui m’a laissé un sentiment d’impuissance et de perte.
Elle a affirmé qu’elle avait dû consommer un médicament du 23 décembre au 13 janvier et un autre du 13 janvier au 17 janvier – la veille du jour où elle avait mis par écrit son accord de non-contestation.
Schrock a été libéré le 19 janvier et est entré dans un centre de traitement de Los Angeles.
Après l’événement, la procureure Nicole Flood a informé le tribunal que Sheen avait été très effrayé à la suite de la dispute.
De plus, elle a révélé que Sheen avait des blessures avec des points de suture lorsque cela s’est produit. Un de ces points de suture est sorti pendant la lutte avec Schrock.
Une ordonnance de protection d’une durée de dix ans a été émise contre Schrock, l’empêchant d’approcher l’acteur hollywoodien.
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2024-07-19 17:35