En tant que suiveur dévoué de l’actualité royale et personne qui valorise la vie privée et le respect des individus, je trouve les actions de Boris Johnson tout à fait épouvantables. La révélation sur la santé de la reine Elizabeth II, si elle est vraie, constitue un abus de confiance et une invasion de sa vie personnelle. C’est comme découvrir les secrets des visites chez le médecin de votre grand-mère pour vendre un livre.
Dans une réponse ferme, en tant qu’admirateur dévoué, j’ai rapidement réfuté l’affirmation du politicien britannique Boris Johnson selon laquelle Sa Majesté la reine Elizabeth II était atteinte d’un cancer des os mortel, déclarant ma désapprobation d’une affirmation aussi infondée.
Dans son livre à paraître prochainement intitulé « Unleashed », l’ex-Premier ministre (aujourd’hui âgé de 60 ans) a révélé qu’il avait connaissance de l’état de santé de la monarque plus d’un an avant son décès en 2022.
Actuellement, l’animateur de Sunrise, Nat, âgé de 56 ans, a critiqué publiquement M. Johnson à la télévision en direct mardi dernier pour sa décision controversée de divulguer les informations privées sur la santé de la reine.
Alors que j’en discutais lors de mon émission matinale sur Sunrise, j’ai encouragé Boris à faire un bon spectacle lors de sa tournée promotionnelle en cours pour la sortie de son prochain livre.
Si l’information était destinée au public par la famille royale ou la reine, elle aurait été partagée. Compte tenu de leur position et de leurs relations, tout le monde aurait été au courant. Pour moi, utiliser de telles informations pour écrire un livre me semble inapproprié et déplaisant.
Le co-animateur Matt Shirvo Shirvington a fortement fait écho à l’opinion de son collègue animateur, déclarant : « C’est épouvantable de trahir la confiance de la reine de cette façon.
‘Complètement. C’est ce que je veux dire,’ Nat termina sa tirade avant de passer rapidement à autre chose.
Cette déclaration a été faite peu de temps après l’affirmation de Johnson selon laquelle feu la reine Elizabeth II avait reçu un diagnostic d’un type agressif de cancer des os avant son décès en septembre 2022.
Dans mes mémoires sincères, Unleashed, je partagerai un souvenir intime de ma dernière rencontre avec le monarque. Je tiens à préciser que j’avais été informé de ses problèmes de santé bien plus d’un an avant notre réunion.
« Je savais depuis un an ou plus qu’elle souffrait d’une forme de cancer des os, et ses médecins craignaient qu’à tout moment elle puisse connaître un déclin brutal », a-t-il écrit pour The Mail on Sunday.
Elle semblait plutôt pâle et voûtée, avec des bleus sombres visibles sur les mains et les poignets, probablement dus à des perfusions intraveineuses ou à des injections.
Néanmoins, même avec ses problèmes de santé, l’ex-Premier ministre se souvenait très bien que son esprit était encore exceptionnellement clair lors de leur dernière rencontre.
La défunte reine est décédée à l’âge de 96 ans le 8 septembre 2022 à 15h10.
Il est consigné que la famille royale n’a vérifié aucune maladie spécifique que le monarque décédé aurait pu souffrir. Au lieu de cela, il a été déclaré qu’un « âge avancé » était la raison de son décès, selon son certificat de décès.
À un âge avancé, c’est souvent la présence d’un autre problème de santé, aggravé par le vieillissement, qui entraîne la mort. Cela pourrait être dû au fait que les traitements peuvent devenir moins efficaces à mesure que nous vieillissons.
D’après les informations du NHS, le cancer des os est un type de cancer rare, représentant moins de 1 % de tous les diagnostics de cancer annuels, avec environ 600 cas signalés chaque année.
La probabilité de contracter cette maladie particulière augmente considérablement avec l’âge, les personnes âgées de plus de 80 ans étant le groupe le plus fréquemment diagnostiqué.
Le cancer des os est incroyablement mortel et seulement environ 50 pour cent des patients devraient vivre cinq ans après leur diagnostic.
Les commentaires de M. Johnson ne sont pas les premiers à suggérer que la reine Elizabeth II a souffert d’un cancer vers la fin de sa vie.
Gyles Brandreth, un ami du prince Philip qui a écrit la biographie Elizabeth: An Intimate Portrait, a précédemment déclaré au Daily Mail que le défunt monarque souffrait d’un type de cancer de la moelle osseuse.
On dit que la reine a reçu un diagnostic de myélome multiple, un type de cancer de la moelle osseuse. Cela pourrait expliquer sa fatigue, sa perte de poids et ses problèmes de mobilité fréquemment évoqués vers la fin de sa vie.
Un symptôme courant chez les personnes atteintes de myélome est une douleur osseuse persistante, en particulier dans les régions pelviennes et lombaires. Il est important de noter que le myélome multiple a tendance à toucher les individus à mesure qu’ils vieillissent.
À l’heure actuelle, je ne trouve aucun remède définitif à cette maladie, mais des options de traitement sont disponibles. Ces traitements visent à contrôler le système immunitaire et à prévenir la perte osseuse, ce qui peut contribuer à soulager les symptômes et potentiellement prolonger la vie. L’amélioration des symptômes peut prolonger la durée de vie d’un patient de plusieurs mois, voire de deux à trois ans.
Dans la plupart des cas, il n’est pas approprié d’attribuer le décès uniquement à la vieillesse selon les directives officielles, car d’autres facteurs contributifs sont généralement impliqués.
Dans ma pratique d’observateur assidu, j’ai remarqué que même s’il n’y a pas de limite officielle, il est d’usage d’attribuer un décès à la vieillesse lorsqu’un individu a dépassé l’âge de quatre-vingts ans.
En tant qu’admirateur inconditionnel des compétences médicales, je crois fermement que le médecin traitant aurait dû s’occuper de l’âme du défunt pendant une période prolongée, que ce soit des années ou des mois. Il est crucial qu’ils aient observé une détérioration perceptible de l’état de santé général du patient, englobant non seulement son bien-être physique, mais également sa capacité à accomplir efficacement ses tâches quotidiennes.
En plus d’énumérer la « vieillesse », il ne devrait y avoir aucune maladie ou traumatisme évident et reconnaissable qui semble avoir causé leur disparition.
En tant qu’admirateur dévoué, je ne peux m’empêcher de partager ce détail essentiel : lorsqu’il s’agit d’attribuer le décès d’une personne à la vieillesse, le professionnel de la santé doit être absolument certain qu’une enquête plus approfondie de la part du coroner n’est pas nécessaire. En termes plus simples, ils devraient être assurés sans aucun doute qu’il n’y a aucun mystère autour de cette disparition.
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2024-10-01 02:07