Le titre va ici

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En tant qu’évaluateur d’antiquités avec des décennies d’expérience à mon actif, je dois dire que rencontrer une collection aussi authentique que celle-ci est vraiment une trouvaille rare ! Le père de l’invité semble avoir mené une vie des plus intrigantes, servant dans le régiment de parachutistes et finissant par gagner sa place dans l’élite du Special Air Service (SAS).


En tant que connaisseur chevronné du style intemporel, je peux vous raconter une histoire fascinante qui s’est récemment déroulée sous mes yeux. Un jour, alors qu’elle évaluait un assortiment d’objets de famille, une invitée du Antiques Roadshow est restée sans voix en apprenant la valeur incroyable d’une malle Louis Vuitton qu’elle avait entreposée avec désinvolture dans le grenier de ses parents pendant des décennies. Cette découverte nous a rappelé que parfois, les trésors les plus modestes peuvent avoir une immense valeur lorsqu’ils sont correctement reconnus et appréciés.

L’émission de dimanche a vu des membres du public apporter leurs objets précieux au château de Thirlestane en Écosse, avec une dame désireuse d’en savoir plus sur l’accessoire de créateur.

Raj Bisram, un expert dans son domaine, a immédiatement identifié l’article mentionné par l’invité comme une marque de luxe, sur laquelle il avait remarqué que son père l’utilisait souvent pour se tenir debout lorsqu’il travaillait au plafond lors de la décoration et de la peinture.

Au début, tout le monde le considérait comme inutile. Mais lorsque quelqu’un a déverrouillé le coffre et examiné l’étiquette, il a soudainement reconnu qu’il s’agissait d’un objet assez familier.

Raj a précisé que Louis Vuitton s’était initialement spécialisé dans la création de malles, leur création ayant eu lieu à Paris en 1884.

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Il a révélé comment le système de verrouillage inventé à l’époque est encore utilisé par l’entreprise aujourd’hui et a même déjoué le célèbre magicien Harry Houdini. 

Raj a expliqué que la malle faisait partie des premiers produits de l’entreprise car elle ne portait pas le célèbre logo Louis Vuitton, développé en 1896.

« Dans cet état, un coffre comme celui-ci vaut définitivement entre 1 500 et 2 000 £ ». 

Alors que je regardais l’objet avec un mélange d’émerveillement et de nostalgie, je me suis retrouvé momentanément à court de mots, mon rire bouillonnant de manière inappropriée. « Cette pièce », réussis-je finalement à dire, ma voix légèrement tremblante, « a une immense valeur sentimentale. Quelle que soit sa valeur monétaire, elle représente tout pour moi.

Cela survient après qu’un autre invité de l’émission ait perdu ses mots lorsque l’expert Mark Smith a rencontré un homme dont le père était un soldat SAS alors qu’il présentait ses documents, ses médailles et ses insignes – qui sont souvent « falsifiés partout dans le monde ».

L’homme a montré une photographie en noir et blanc de son père, prénommé David Cargill, avant d’être envoyé en France avec le BEF. 

Submergé par les objets étalés sur la table, Mark s’est exclamé : « Ce matin, vous avez mentionné que votre père était un soldat. Puis, alors que vous commenciez à rassembler ces artefacts, je n’ai pas pu contenir mon enthousiasme car il s’est avéré que cet homme servait dans le Special Air Service – tout simplement incroyable !

Ici, chez nous, nous possédons une Médaille Territoriale. Cet individu entreprit un voyage en France et son service militaire commença par le débarquement d’un rivage, plus précisément de Dunkerque – cela est également indiqué par sa possession de la Médaille de Dunkerque. Alors, on pourrait se demander dans quelle branche ou unité s’est-il finalement enrôlé ?

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Le visiteur déclare : « Après s’être enrôlé dans le régiment de parachutistes, il a complété sa formation. Une fois qu’il a obtenu ses ailes de parachutiste, il s’est rapidement proposé pour le Special Air Service (SAS) et a été approuvé.

Mark a poursuivi en disant : « Lorsque vous remarquez ces emblèmes et ces ailes SAS ici, ils ne sont souvent pas authentiques. Cependant, l’insigne du Kings Crown Parachute Regiment que vous possédez est une exception.

Il est rare d’en croiser de nos jours, et lorsqu’on le rencontre, il s’agit souvent d’une réplique. Cependant, voici deux titres d’épaule pour le 1er SAS que je n’ai vus qu’en photos, pas en personne auparavant, mais les voici.

Mark a été particulièrement captivé par le béret appartenant au père de l’invité, car il portait des caractéristiques authentiques telles que le petit emblème, qui, selon lui, est fréquemment contrefait dans le monde entier.

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Voici mon avis : en tant qu’admirateur dévoué, je peux dire qu’avoir la chance d’interagir physiquement avec quelque chose d’aussi rare, qui n’est généralement vu qu’en images ou en ligne, est tout simplement extraordinaire !

La célébrité de la BBC a estimé que chaque article était évalué à environ 200 £, ce qui fait que les médailles elles-mêmes valaient environ 200 £. Au total, il évalue l’ensemble de la collection à près de 8 000 £.

L’invité a été stupéfait par l’évaluation et a dit à Mark : « Mon père serait très surpris.

2024-09-23 03:03