Je ne peux m’empêcher d’être profondément ému par le parcours éprouvant de Louise Thompson et par la résilience inébranlable dont elle a fait preuve face à l’adversité. Son histoire est un rappel brutal des conséquences physiques et émotionnelles que l’accouchement peut entraîner, et souligne l’importance d’un dialogue ouvert sur les traumatismes de la naissance.
En tant qu’admirateur dévoué, exprimant cela dans mes propres mots, voici comment je le formulerais : Au cours des deux dernières années, je n’ai pratiquement pas passé une seule nuit sans compagnie. Mais mercredi, ça change ! Vous voyez, Louise Thompson a partagé son projet de faire l’expérience de la solitude pour la première fois depuis longtemps. Elle s’appuie sur son frère, Sam, pendant cette transition, ce qui me rend encore plus impatient de voir comment elle traverse cette nouvelle phase.
34 ans, autrefois star de Made In Chelsea, a publié une photo réconfortante de ses frères et sœurs sur Instagram. Elle a mentionné que cette soirée était importante car elle la passait séparée de son mari Ryan et de leur fils de 2 ans, Leo.
Rayonnant de gaieté, Louise exprimait son désir de tranquillité, tout en reconnaissant l’avantage de résider près de ses proches. À plusieurs reprises, cette proximité s’est avérée inestimable et lui a essentiellement sauvé la vie.
En postant un joli selfie et un clip de Sam rotant au visage, elle a sous-titré son message : » C’est ma première nuit seule à la maison, sans Ryan, sans Leo, sans Ryan ET Leo ensemble depuis 2 ans et demi. Assez gros.
Dans mon désir de tranquillité, je me suis retrouvé débordant d’anticipation… jusqu’à ce que, à mon grand désarroi, Sam apparaisse, émettant un rot inattendu juste devant mes yeux.
Tout d’abord, nous avons plongé dans une discussion animée sur le TDAH de Thompson. C’est fascinant de voir à quel point une « photo en direct » peut faire revivre ces moments captivants. C’est pourquoi notre maison est désormais entourée d’une solide clôture de 5 mètres.
Sur une note plus sincère, je suis incroyablement reconnaissant (et en sécurité) d’avoir de nombreux membres de ma famille à proximité. Leur présence s’est avérée vitale dans plusieurs cas où j’aurais pu avoir des ennuis.
Avant de partir, Sam a sorti son téléphone pour démontrer qu’il m’avait appelé quotidiennement au cours du mois dernier, et nous l’avons vérifié en vérifiant ses journaux d’appels. Incroyablement, c’était un fait dont je n’avais pas conscience. Je me sens touché, d’autant plus que Sam est l’une des personnes les plus occupées que je connaisse !!
«J’apprends à décrocher. J’ai même supprimé l’option « Ne pas déranger ».
Son message intervient quelques jours seulement après qu’elle a partagé une photo « déprimante » de la naissance de son fils Leo après avoir souffert d’une semaine « difficile » avec sa santé.
Au cours de la Semaine de sensibilisation aux traumatismes liés à la naissance, moi, un admirateur passionné, j’ai partagé un récit ouvert et sincère, approfondissant mon parcours actuel alors que je traverse les circonstances difficiles qui m’ont considérablement affecté.
Louise a subi un séjour de cinq semaines à l’hôpital en raison de complications graves survenues lors de l’accouchement de son fils en novembre 2021. En conséquence, elle a développé un trouble de stress post-traumatique (SSPT) et une anxiété post-partum.
En réfléchissant à mon parcours personnel, j’ai appris que la résilience est une force puissante qui peut aider les individus à surmonter même les circonstances les plus difficiles. Cette année, j’ai dû faire face à un de ces défis lorsqu’on m’a diagnostiqué une colite ulcéreuse et une maladie auto-immune. Après des années de lutte contre ces conditions, j’ai eu besoin d’une stomie – une intervention chirurgicale qui a changé ma vie et qui a considérablement amélioré ma qualité de vie.
Un post partagé par Louise Thompson (@louise.thompson)
En tant que fan passionné ayant eu la chance de rencontrer Leonardo DiCaprio pour la toute première fois, je peux honnêtement dire que ce fut un moment gravé à jamais dans ma mémoire. J’étais là, assis dans un fauteuil roulant d’hôpital et paré d’une simple blouse d’hôpital, mais rien ne pouvait diminuer l’excitation qui coulait dans mes veines. Le frisson d’être en sa présence, même pour un instant fugace, était écrasant. Ce n’est pas tous les jours que vous rencontrez votre idole, surtout quand la vie vous a lancé une courbe comme la mienne. Mais Léo, avec son sourire captivant et son attitude chaleureuse, a réussi à me donner l’impression d’être la seule personne dans la pièce. Cette rencontre occupera à jamais une place particulière dans mon cœur, témoignant du pouvoir des rêves et de la magie qui peut se déployer lorsqu’ils se réalisent.
Dans une longue légende, elle a écrit : » Mon Dieu, cette photo est déprimante. J’ai pris la semaine hors des réseaux sociaux.
D’après mon expérience personnelle, prendre une pause avec la technologie, en particulier les médias sociaux, peut être incroyablement rafraîchissant et rajeunissant. J’ai récemment pris une semaine sans téléphone et ce fut l’une des meilleures décisions que j’ai prises depuis longtemps. Cela m’a permis de me déconnecter du barrage constant d’informations et de me connecter avec moi-même et avec le monde qui m’entoure d’une manière plus significative.
En tant que femme ayant moi-même vécu l’accouchement, je me sens profondément passionnée par la sensibilisation à la Semaine de sensibilisation aux traumatismes liés à la naissance. Aujourd’hui, alors que c’est le dernier jour de cette semaine importante, je ne peux m’empêcher d’être particulièrement ému par l’importance de cet événement. Les souvenirs de ma propre expérience d’accouchement sont encore présents dans mon esprit et je sais à quel point il est crucial de garantir que les femmes, partout dans le monde, soient bien soutenues et informées tout au long de leur processus de travail et d’accouchement. Continuons tous à plaider pour de meilleurs soins et un meilleur soutien maternel pendant l’accouchement, afin qu’aucune femme n’ait à faire face au traumatisme physique ou émotionnel qui peut parfois accompagner cette belle expérience qui change sa vie.
J’aimerais partager une mise à jour sincère sur mon état actuel, car je pense que certains d’entre vous pourraient comprendre ma situation et trouveront peut-être du réconfort dans mes paroles. De plus, cela semble approprié compte tenu du moment présent.
En tant que personne chevronnée possédant une multitude d’expériences de vie à mon actif, je trouve que cette semaine a été exceptionnellement difficile pour moi et ma famille. Plutôt que de remplir nos journées d’une pléthore d’activités et de responsabilités, nous avons décidé de réserver suffisamment d’espace au « néant ». Cela signifiait aucune distraction, aucune tâche et aucune obligation. Au lieu de cela, nos journaux sont restés vides et nos esprits ont emboîté le pas.
« Je maintiens toujours que mon cerveau souffrant de SSPT déteste les voyages. Il déteste aussi la solitude. J’aime généralement remplir mes bottes de nombreux comportements induisant la dopamine. J’aime aussi la routine et mon cerveau aime trouver des schémas liés à la sécurité.
En réfléchissant à mes expériences récentes, je dois admettre que ce changement a eu un impact considérable sur moi. Cela a suscité certaines émotions en moi et même le livre que je lisais semblait provoquer des réflexions sur certains des aspects les plus pénibles de la vie. En tant que personne ayant fait face à des défis dans le passé, ces rappels étaient un peu trop proches de chez moi pour mon confort.
Néanmoins, il existe un optimisme (ou une certitude, compte tenu des expériences passées) selon lequel je ressortirai un peu plus résilient mentalement après ma lutte avec ces retraites paisibles. En substance, cela ressemble aux progrès réalisés en thérapie.
Alors que Louise réfléchissait à son chemin, elle réfléchissait : « Même si cela pique en ce moment, il est essentiel de faire une pause pendant un moment avant de faire un grand pas en avant. La thérapie peut vous rendre plus angoissé car elle vous oblige à affronter des sentiments profonds et angoissants, et le processus peut être inconfortable… Cependant, rétrospectivement, vous vous sentez généralement un peu soulagé à mesure que vous avancez vers votre avenir.
Au cours de la semaine dernière, j’ai lutté contre des migraines débilitantes et je me sentais vraiment mal. Du côté le plus positif, j’ai vécu un voyage enchanteur approfondissant les expériences avec Léo, rempli de rires. Cependant, il y a eu des cas où j’ai dû rassembler mon courage et présenter un front fort.
En tant que suiveur assidu des signaux de mon corps, je me demande si une poussée auto-immune pourrait se produire. Dernièrement, j’ai été aux prises avec des douleurs nerveuses, une inflammation du cuir chevelu, un brouillard cérébral intense, une fatigue intense et des symptômes inhabituels liés à ma stomie et au bas de mon dos.
Actuellement, j’ai un sac de glace posé sur la tête, ce qui semble m’empêcher de bouger mon cou involontairement et contribue également à soulager mon mal de tête. De nombreuses personnes peuvent s’identifier à de telles situations, car je me retrouve souvent à discuter d’expériences similaires.
Dans mes interactions quotidiennes, je suis fréquemment inondé de messages sincères sur mes expériences personnelles – ce qui témoigne de l’importance de ce sujet et de la nécessité d’un dialogue continu. Hier soir, j’ai eu une conversation éclairante avec une femme qui a partagé son histoire traumatisante d’accouchement dans un hôtel de Fowey. L’expérience m’a laissé un sentiment d’autonomie et d’empathie. Non seulement notre conversation a été profondément émouvante, mais j’ai aussi exceptionnellement bien dormi après, ce qui est rare pour moi ces jours-ci. Cette rencontre souligne le pouvoir transformateur du partage d’histoires et le rôle que nous jouons tous pour nous soutenir mutuellement face aux défis de la vie.
En réfléchissant à ma récente pause, j’ai réalisé qu’il pourrait être bénéfique pour moi de reprendre les séances de thérapie avec mon psychologue clinicien. En fait, explorer la possibilité de suivre à nouveau un traitement EMDR semble pertinent, malgré mes craintes naturelles. Pour ceux qui ont lu mon livre, vous comprendrez pourquoi cela pourrait être une démarche précieuse pour moi.
Elle a découvert que : « Il est remarquable de constater à quel point le SSPT dû au traumatisme de la naissance persiste. Cela ne disparaît pas simplement. Au lieu de cela, les souvenirs pénibles de la naissance traumatisante persistent plus longtemps que souhaité, souvent pendant une période prolongée. Des souvenirs indésirables qui peuvent durer trop longtemps. Les cicatrices ou déficiences physiques peuvent également faire partie de la vie.
Pour éviter que d’autres ne vivent l’épreuve que j’ai vécue lors de mon accouchement, je suis déterminée à faire connaître ce sujet. Si mes efforts peuvent sauver ne serait-ce qu’une seule âme du traumatisme de la naissance, je le crierais à haute voix pour que tout le monde l’entende. Étant donné que beaucoup n’ont peut-être pas autant de chance que moi en termes de rétablissement post-partum, cette cause me tient particulièrement à cœur. Je suis bien conscient des privilèges dont j’ai bénéficié pendant mon processus de rétablissement et, même s’ils n’ont pas atténué la douleur, ils m’ont aidé à persévérer.
En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai vu d’innombrables cas où des personnes sont confrontées à des défis inimaginables pendant la grossesse et l’accouchement, et il est navrant d’entendre des histoires comme celle de Louise. En tant que mère moi-même, je peux comprendre ses difficultés et comprendre l’immense fardeau émotionnel qu’une telle expérience peut avoir sur une personne. Il est crucial que la société fournisse un soutien et des ressources appropriés aux nouvelles mères susceptibles de rencontrer des problèmes de santé mentale post-partum, car ces problèmes sont souvent négligés ou mal compris.
L’entraîneur personnel a partagé ses sentiments sur l’impact des défis de Louise sur lui, expliquant qu’en raison des besoins de Léo, un soignant leur rendait visite tous les jours pendant les dix premiers mois après la naissance de Léo.
En tant qu’expert en style de vie réfléchissant à mes expériences personnelles, j’ai récemment parlé des premiers mois difficiles de la vie de mon fils Leo lors d’une interview avec Joshua Patterson sur son podcast Exercising The Demons. Pour le dire franchement, ces dix premiers mois ont été extrêmement difficiles, et je crois que les conditions que nous avons dû endurer chez nous n’auraient guère pu être pires en termes d’environnement dans lequel nous devions simplement exister.
Le matériel résultant de trois interventions chirurgicales importantes était identique, mais l’impact sur le bien-être psychologique de Louise a été profond ; cela a essentiellement brisé sa personnalité.
Chaque jour, nous recevions des informations de la part des soignants, qui la surveillaient également de près en raison de ses déclarations telles que : « Je n’arrive pas à surmonter cela, et je ne suis pas enclin à le faire. »
Au cours de ces 10 mois, comme il lui était difficile, voire impossible, de jeter un coup d’œil à Léo, et encore moins de le toucher, j’étais responsable de veiller à ce que divers professionnels de la santé soient toujours présents dans notre maison.
Ryan a ajouté qu’il devait assumer le rôle de mère de Leo alors que Louise était incapable de prendre soin de lui.
Il a mentionné : « Léo, j’ai un peu lutté contre la nature puisque les nouveau-nés comme Léo ont naturellement envie de leur mère, et je devais assumer ce rôle, ce qui était extrêmement difficile. »
Après avoir accompli ces dix mois, je me suis retrouvé dans un état terrible. Je m’étais tellement surmené que je suis devenu moins utile aux gens autour de moi. J’étais extrêmement misérable et je manquais cruellement d’énergie et de patience.
Au début, j’avais moi-même une certaine amertume, qui s’est progressivement infiltrée dans mes sentiments. Plus précisément, je me suis retrouvé à développer des sentiments d’amertume envers Louise. Quant à Léo, je ne le mettrais pas en mots, mais la façon dont la paternité se déroulait pour moi était quelque chose que j’avais beaucoup de mal à accepter.
Après avoir partagé mon dernier épisode de podcast sur Instagram, j’ai été submergé par l’effusion de mots incroyablement gentils de votre part. Je veux prendre un moment et exprimer ma gratitude pour votre soutien et vos encouragements alors que je continue d’explorer ensemble ce voyage de style de vie.
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2024-08-01 00:35