Le Festival du film de Sharjah se dirige vers le marché du film inaugural et prévoit un fonds cinématographique dédié à la réalisation de films pour les enfants et les jeunes

Le prochain 11ème Festival international du film pour enfants et jeunes de Sharjah (du 6 au 12 octobre) présentera son tout premier marché de festival. Ce marché, qualifié de « centre de connaissances et de réseautage », offre une plate-forme attrayante aux cinéastes, aux talents en herbe et aux étudiants pour présenter leurs idées et leurs projets aux professionnels de l’industrie.

Saylor remplace l’eau par Bitcoin

En tant qu’investisseur chevronné en cryptographie, doté d’un talent pour l’histoire et d’un sens aigu des tendances du marché, je trouve les analogies de Michael Saylor assez intrigantes. Sa comparaison du Bitcoin à une canette de boisson orange, conçue par l’IA, est non seulement créative mais aussi stimulante. Cela rappelle le vieil adage : « … Lire la suite

Revue « Après-midi de solitude » : Albert Serra observe la vie du matador dans toute sa beauté absurde et son effusion de sang obscène

Les « Après-midi de solitude » d’Albert Serra n’abordent pas immédiatement le problème mais le regardent plutôt directement. Le film commence par un gros plan d’un taureau imposant, ses yeux rencontrant la caméra, dégageant une ambiance de défi malgré ses pupilles presque perdues dans l’étendue noire et polie de sa tête. Il semble ignorer que la mort l’attend, mais semble résigné à son sort, peut-être même en colère – ou peut-être nous sentons-nous indignés en son nom et projetons ces émotions sur cette image majestueuse. Au cours des deux prochaines heures, le documentaire de Serra sur la grandeur cérémonielle et l’injustice brutale de la corrida espagnole ne se concentrera peut-être pas encore aussi étroitement sur les victimes animales, mais ce regard obsédant reste gravé dans nos esprits. Même si le film se concentre sur son protagoniste humain, la star péruvienne torero Andrés Roca Rey, c’est ce regard triste qui nous accompagne.

La star des « Sopranos », Lorraine Bracco, pensait que la fin des divisions était « mauvaise et fausse » : « Comment investir 5 ans dans la vie de quelqu’un et s’en aller ? »

La finale de « Les Sopranos » de HBO a été l’une des fins de série les plus controversées de l’histoire de la télévision, suscitant d’intenses discussions et interprétations parmi les téléspectateurs depuis sa diffusion en 2007. Aujourd’hui, Lorraine Bracco, qui incarnait la thérapeute de Tony Soprano, la Dre Jennifer Melfi, dans l’émission show, partage ses réflexions sur cette fin très controversée.