En tant qu’experte en style de vie et fervente défenseure de l’inclusion et du respect de tous, je suis profondément attristée et frustrée par la récente expérience de Sophie Morgan avec un chauffeur Uber valide. Ayant été victime de discrimination et d’ignorance en raison de mon handicap, je peux comprendre les sentiments de frustration et de déception de Sophie.
Sophie Morgan était visiblement bouleversée après qu’un chauffeur d’Uber ait fait un commentaire capacitaire à son sujet.
Sur le compte Instagram de Taylor, qui est le sien, une animatrice télé de trente-neuf ans a posté une vidéo mardi. Dans le clip, elle raconte une rencontre désagréable qu’elle a vécue avec un chauffeur de taxi.
Dans une autre vidéo, un défenseur des droits des personnes handicapées a déconseillé au chauffeur de bus de s’enquérir de la cause du handicap d’un passager et a averti que de telles remarques pourraient être perçues comme insensibles ou irrespectueuses.
Elle a légendé son message : « Et moi aussi, je passais une si bonne journée… »
La star, l’air agacée, a exprimé l’espoir que ses éclaircissements empêcheraient d’autres personnes de poser les mêmes questions au conducteur à l’avenir.
Dans sa récente publication sur Instagram et sa précédente mise à jour de l’histoire, Sophie a montré des signes de détresse en plaçant son visage dans ses mains et en prenant une profonde inspiration.
J’ai eu l’expérience étrange de me voir demander par un chauffeur Uber, dès que je montais dans sa voiture : « Qu’est-ce qui ne va pas chez toi aujourd’hui ? Cela m’a surpris, car ce n’était pas une salutation habituelle ou un démarreur de conversation. Pour rendre les choses encore plus intrigantes, il a ajouté que j’étais le deuxième « patient » qu’il conduisait ce jour-là. En tant que personne qui valorise la vie privée et l’espace personnel, cette interaction m’a laissé mal à l’aise et un peu préoccupé par les intentions et l’état mental du conducteur. Cela m’a fait réfléchir sur l’importance de respecter les limites des autres et d’être attentif à nos paroles et à nos actions envers les étrangers dans nos interactions quotidiennes.
Lorsque vous essayez de le remettre dans l’ordre mais qu’il vous ignore avec une réponse du type : « Tu vas, ma fille, pour avoir quitté la maison ! » plutôt.
De plus, elle a exprimé son incrédulité en secouant la tête et en serrant les dents d’étonnement tandis que ses yeux éclataient de surprise alors qu’ils étaient filmés.
Dans une autre vidéo, qu’elle a partagée sur sa story Instagram, Sophie a interrogé le chauffeur Uber concernant ses propos.
D’après mon point de vue et ma compréhension de la situation, je crois qu’il est important d’aborder les interactions avec les personnes handicapées avec sensibilité et respect. Ayant moi-même eu le privilège de ne pas vivre avec un handicap, je reconnais que transporter une personne handicapée dans votre voiture peut soulever des questions sur son état. Il est toutefois crucial de ne pas poser de questions indiscrètes d’emblée. Au lieu de cela, nous devrions nous efforcer de les faire se sentir à l’aise et inclus.
Le chauffeur Uber s’est ensuite excusé avant que Sophie continue d’expliquer que cela pourrait être offensant.
Je comprends que partager les antécédents médicaux personnels d’une personne peut être un sujet sensible. D’après mes propres expériences et observations, il semble que les gens ont des raisons valables de vouloir garder ces informations privées. Cela peut être dû à des traumatismes ou des blessures passés qu’ils préfèrent ne pas revivre, ou simplement à une question de vie privée et de limites personnelles.
D’après mes expériences et observations personnelles, je crois que poser des questions intrusives sur la vie personnelle de quelqu’un peut être assez offensant, surtout si ce n’est pas approprié ou si la personne n’a pas indiqué sa volonté de discuter du sujet. Il est important de respecter la vie privée des gens et de leur permettre de partager des informations à leur rythme. Si vous avez une conversation avec quelqu’un, je vous recommande de vous inspirer de lui et de poser uniquement des questions qui vous semblent naturelles et pertinentes pour la conversation. Ce faisant, vous établirez une connexion plus authentique et plus significative. Croyez-moi, cette approche a fait des merveilles dans mes relations et mes amitiés.
Ce à quoi le chauffeur Uber a répondu : « Compris, mes excuses. »
Les partisans ont inondé les commentaires de soutien et ont partagé leurs propres expériences.
Je n’ai jamais été capable de comprendre la question « Qu’est-ce qui ne va pas chez toi ». Imaginez simplement interroger une personne au hasard dans la salle d’attente d’un médecin sur ses problèmes de santé : est-ce acceptable ? Alors pourquoi est-ce considéré comme approprié lorsqu’il s’agit de nous et de nos informations médicales personnelles ?
« Une personne a mentionné que son fils a toujours détesté rouler avec des chauffeurs Uber. Il préfère prendre plusieurs bus plutôt que d’utiliser Uber. Ce n’est pas que tous les chauffeurs Uber sont mauvais, mais le problème se pose environ 70 % du temps. »
Une précédente animatrice de Loose Women s’est prononcée contre la discrimination à l’égard des personnes handicapées. Récemment, elle a été qualifiée de perturbatrice par les dirigeants des compagnies aériennes en raison de ses efforts visant à améliorer l’expérience de vol des personnes handicapées.
Un accident de voiture a empêché le présentateur de bouger de la poitrine aux pieds. Pourtant, ce malheureux incident ne les a pas empêchés de mener une campagne intitulée « Droits sur les vols ».
Après avoir subi une panne de son fauteuil roulant sur trois vols différents en un an, elle exhorte l’administration britannique à améliorer l’accessibilité des personnes handicapées lorsqu’elles voyagent en avion.
Après la diffusion de son documentaire Fight to Fly de Sophie Morgan sur Channel 4 lundi dernier, elle milite vigoureusement en faveur de droits accrus pour les personnes handicapées dans les voyages aériens, après avoir découvert le traitement choquant des utilisateurs de fauteuils roulants pendant les vols.
À son retour, elle a rappelé que la principale motivation de sa carrière à la télévision lui était venue après qu’elle soit devenue handicapée à l’âge de 18 ans. C’est alors qu’elle a compris à quel point nos expériences étaient sous-estimées par les autres. Elle se demandait fréquemment si tout le monde était conscient des défis auxquels nous sommes confrontés.
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2024-07-24 17:05