Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : « Le monde est devenu fou »

Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"

En tant que parent qui a élevé et nourri des enfants à différentes étapes de leur vie, je me sens profondément préoccupé par les récentes directives destinées aux bibliothécaires de Victoria, en Australie. Ayant eu ma propre part d’expériences en matière d’éducation d’enfants, je peux attester du fait qu’à cinq ans, les enfants continuent de se développer et d’apprendre à connaître le monde qui les entoure. Interroger un enfant sur ses pronoms de genre semble plus une complication inutile qu’un moyen de favoriser la compréhension et l’empathie.


En tant que passionné de tout ce qui touche à la parentalité et au vlogging, je me suis retrouvé ces derniers temps mêlé à un tourbillon de débats. Vous voyez, une aspirante blogueuse momie a fait sensation en exprimant sa désapprobation envers les bibliothèques publiques de Victoria pour avoir posé une question apparemment anodine aux enfants : « Quels sont vos pronoms ? Cette simple enquête, destinée à favoriser l’inclusion et le respect de toutes les identités, a déclenché une discussion enflammée qui a laissé beaucoup d’entre nous, fans, perplexes.

Ce mois-ci, il a été suggéré aux bibliothécaires de s’enquérir des pronoms de genre préférés des enfants âgés de cinq ans et plus, ce qui a suscité une controverse parmi certains parents et érudits traditionnels.

La semaine dernière, Montana Older, mère de trois enfants, a exprimé sa désapprobation sur TikTok à propos d’une décision récente, affirmant que le monde semble avoir perdu la raison, exprimant cela comme « le monde est devenu fou ».

Elle a commencé en berçant son plus jeune enfant : « Je suis curieuse, pourquoi les bibliothèques publiques de Victoria demandent-elles maintenant comment les enfants s’identifient ?

Ces individus sont des femmes, car c’était leur sexe biologique à la naissance. Ils s’identifient comme des femmes. Si vous posez des questions sur votre propre sexe, vous pouvez être soit une femme (femelle), soit un homme (homme). Vous n’êtes ni un animal comme un chat ni un chien.

Si ça se généralise aux garderies et aux écoles, on optera pour l’école à la maison, j’en ai fini. Il semble que nous nous écartions de notre cap. Le monde semble de plus en plus chaotique.

Montana a déclaré, alors que sa fille était sur le point de vomir : « C’est tout simplement inacceptable. Je préfère ne pas assister aux événements de la bibliothèque où il y a des heures d’histoire de drag queens.

«C’est aussi ce qu’elle en pense. Vomir », a plaisanté l’influenceur en herbe. 

Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"

Montana a déclaré : « Il faut beaucoup de courage, semble-t-il, pour exprimer son opinion sur ce sujet. Les gens semblent souvent hésiter à partager leurs véritables pensées. À mon avis, c’est vraiment méprisable.

Cela me semble totalement inadapté. On a l’impression que les actions du monde deviennent irrationnelles. Je crois que nous devrions simplement laisser les enfants se débrouiller seuls.

Montana a exprimé sa préférence pour que ses enfants ne soient pas confrontés à des situations dans les bibliothèques où ils pourraient être confus quant à leur identité de genre potentielle.

Les gens se sont empressés de commenter ce qu’elle a dit, certains exprimant leur accord avec son point de vue, tandis que d’autres l’ont sévèrement critiqué en raison de ses opinions controversées sur la question.

Un individu a déclaré : « Nous formons une famille avec deux mères. Nous partageons les mêmes sentiments. Biologiquement, il est né garçon, et c’est son identité.

Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"

Une personne a commenté : « C’est ahurissant et troublant de voir comment les choses se passent dans le monde aujourd’hui », une autre a abondé dans le même sens, et plusieurs autres ont répondu : « Absolument, absolument, je ne pourrais être plus d’accord ! Continuez à partager votre point de vue.

Une autre personne a déclaré : « Je suis tout à fait d’accord et je crois que j’opterai pour l’école à la maison le moment venu.

Néanmoins, plusieurs personnes ont exprimé des opinions dissidentes : « Parlant des professionnels des bibliothèques. Les bibliothèques publiques devraient servir de sanctuaires pour tous, englobant des individus de genres divers. Cela s’étend également à nos plus jeunes clients. Les bibliothèques visent à favoriser l’inclusion. Participons, c’est plus agréable. .

« Je ne comprends vraiment pas pourquoi c’est un problème. Si on demande à mon fils, il répondra « garçon » et nous continuerons notre journée », a écrit un autre.

Un troisième a ajouté : « Complètement en désaccord. Oui, les enfants naissent en tant que garçon ou fille, mais cela ne signifie pas qu’ils doivent s’identifier comme tels lorsqu’ils atteignent un âge où ils découvrent qui ils sont en tant que personne.

Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"
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Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"
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Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"
Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"
Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"

Voici une façon plus simple d’exprimer cette affirmation : « Les gens n’obligent pas les enfants à adopter une identité de genre spécifique contre leur gré. Au lieu de cela, les exposer à diverses identités à un stade précoce contribue à favoriser la compassion et la compréhension, conduisant à une société plus tolérante et inclusive. .

« Les jeunes qui s’identifient comme LGBTQ+ ont souvent des taux de suicide nettement plus élevés que leurs pairs en raison des préjugés et des mauvais traitements. En créant une atmosphère accueillante et stimulante dès le début, nous pouvons réduire considérablement ces risques. J’espère que ces informations vous seront utiles !

À Victoria, il est conseillé aux bibliothécaires de se renseigner sur les pronoms de genre préférés d’un enfant à partir de l’âge de cinq ans, ce qui a récemment suscité une controverse parmi certains parents et éducateurs traditionnels.

Récemment, le gouvernement de Victoria a dévoilé une « boîte à outils des bibliothèques arc-en-ciel », qu’il a ensuite distribuée à plus de 290 bibliothèques réparties dans tout l’État.

Lancé sous la direction du gouvernement de Jacinta Allan, ce nouvel ensemble de ressources propose de nouvelles recommandations conçues pour transformer les bibliothèques en environnements accueillants pour les personnes s’identifiant comme LGBTQIA+ et leurs familles.

Une influenceuse attise la controverse en demandant aux enfants leurs pronoms : "Le monde est devenu fou"

Les conseils pour favoriser l’inclusivité proposés dans ce kit suggèrent plusieurs actions, telles que :

Sous la rubrique « Interprétations neutres pour les enfants », le conseil donné est aux bibliothécaires de s’abstenir d’utiliser des pronoms personnels d’enfant en fonction de leur sexe biologique ou de leur apparence.

La boîte à outils souligne qu’il est crucial de comprendre que pour de nombreux jeunes, leur sentiment d’identité de genre et leur orientation sexuelle peuvent changer ou se développer à mesure qu’ils vieillissent.

Voici une façon possible de reformuler la phrase donnée sur un ton plus conversationnel : « Les enfants pourraient aimer explorer diverses formes d’identité de genre en se déguisant. Aidons-les en ne leur imposant pas nos idées préconçues sur le genre.

La boîte à outils conseille au personnel de la bibliothèque de permettre aux enfants qui visitent l’espace de la bibliothèque de démontrer librement toute évolution de leur identité personnelle.

Dans ce contexte, nous vérifions si l’enfant utilise toujours les mêmes pronoms personnels qu’avant.

2024-09-09 05:49